About Sociedade Recreativa
Prenez l’un des producteurs les plus influents de la scène global bass, ajoutez un chanteur percussionniste spécialiste des rythmes du Brésil, relevez le tout avec l’énergie incandescente d’une danseuse carioca, vous obtenez ainsi le cocktail explosif de Sociedade Recreativa.
Depuis leur base arrière à Rio de Janeiro, le groupe concocte un mélange détonant de rythmes brésiliens et sound system. Leur deux albums, sortis en 2016 et 2019 par Jarring Effects, furent acclamés par la presse spécialisée (Songlines, FIP, Télérama, Les Inrocks,…) et largement relayés par de nombreux djs et radios internationales.
Sur scène, Sociedade Recreativa entraîne son public dans un bal brésilien 2.0. Incantations afro-brésiliennes et instruments rustiques s’allient à des beats et basses irrésistibles pour créer une ambiance unique où rien d’autre que la danse ne compte. Tereza Azevedo, danseuse et chorégraphe à l’énergie contagieuse, mène le public dans des rondes et farandoles dignes des plus belles fêtes populaires !
Le groupe produit actuellement son 3e album et sera en tournée en 2021 avec sa formule power trio. Disponible en France du 2 au 27 juillet.
EN TOURNÉE
MAGA BO – programmations, séquences, effets, overdubs & other digital matters
TEREZA AZEVEDO – chant, percussions et danse
JOAO SELVA – chant et percussions
Références: Festival Convivencia (FR), Festival Contato (BR), Kasern Basel (CH), Recycla’Art (BE), Alice CPH (DK), Movimientos (UK), Domicil (DE), Festival La Pamparina (FR), Adarretatik Zarautz Musika Jaialdia (ESP), Festival Sotaque Carregado (BR), Festival Débord de Loire (FR), Festival Pile au RDV (FR),…
C’est durant l’été 2014 que se rencontrent à Lyon pour la première fois les musiciens du groupe brésilien Forró de Rebeca et le producteur américain Maga Bo, inventeur de la Tropical Bass. Leurs trajectoires se rejoignent à l’instant où les racines brésiliennes du trio lyonnais plongent dans le grand bain des musiques électroniques, alors que les antennes de Maga Bo, résident à Rio de Janeiro depuis plus de quinze ans, ne cessent de se tourner vers le Nordeste brésilien.
Entre Lyon et Rio de Janeiro, les artistes multiplient les allers et retours. D’une rive à l’autre, ils poursuivent leurs expérimentations et font émerger une nouvelle écriture, un son transatlantique « entre-deux ». Le label indépendant Jarring Effects accompagne le projet, alors qu’il prépare un cycle discographique « Worldwide Effects » essentiellement tourné vers des projets internationaux hybrides (Midnight Ravers au Mali, Brain Damage en Jamaique, Cape Town Effects en Afrique du Sud,…). Le rendez-vous est pris, pendant l’été 2015, pour l’enregistrement de l’album. D’autres rencontrent faites sur la route viennent alors enrichir la palette du disque, à l’image du flow occitan de Papet J (Massilia Sound System) ou la voix féline de la pétillante Flavia Coelho.
Vient ensuite l’étape de la création d’un live détonant. Grâce au concours de la Cité de la Musique de Romans et du projet Bizarre de Vénissieux, ils enchainent les résidences dès leur sortie de studio. Sur scène, l’énergie festive des troubadours de Forró de Rebeca s’entremêle naturellement dans le patchwork musical de Maga Bo. Les thèmes gagnent alors une nouvelle vie quelque part entre l’innovation des musiques actuelles et la sophistication de la tradition.
L’expérience du live donne vie à un deuxième album, davantage calibré pour le dancefloor et qui intègre la fougue de la talentueuse danseuse et chorégraphe Tereza Azevedo. Désormais sous la forme d’un power trio pluridisciplinaire, Sociedade Recreativa poursuit son exploration d’une « musique traditionnelle de demain», œuvrant au rapprochement de cultures ancestrales et nouvelles technologies.
PRODUCTION MUSICALE
Couvrant la diversité des musiques urbaines du monde, le travail de Maga Bo établit des liens entre l’organique et l’électronique, la tradition et l’avant-garde, le local avec le global. Que l’on nomme cela transnational bass, global bass ou tropical bass, Maga Bo fait entièrement partie de cette nouvelle zone sonore où les rencontres font office de lieu.
A ce titre, la collaboration in situ avec d’autres artistes a toujours été primordiale pour lui. Il a déjà participé à des résidences artistiques au Maroc, en Inde, en Ethiopie, au Sénégal, au Zanzibar et en Afrique du Sud, pour n’en nommer que quelques-unes. Dans ses productions, tous les instruments et les voix viennent directement de la source.
Son travail en studio est inspiré par les philosophies dub et hip-hop à un niveau fondamental. Il additionne et soustrait des éléments en travaillant avec des couches de sons. Ce ne sont pas seulement le rythme ou l’harmonie qui l’intéressent, mais davantage les juxtapositions et les textures qui donnent à ce travail une profondeur rarement vu dans la musique électronique.
Maga Bo a joué un peu partout depuis l’Inde jusqu’en l’Éthiopie en passant par les grands festivals d’été à travers l’Europe, ainsi qu’en Amérique du Nord et en Australie. Constamment sur la route, il parvient toujours à se maintenir sur le devant de la scène, avec des collaborations remarqués avec Mulatu Astatke, Issa Bagayogo, la star de Bollywood Shilpa Rao, BaianaSystem mais aussi en produisant des remixes acclamés par la critique pour Poirier, Luisa Maita, Filastine, Blick Bassy et Bomba Estéreo.
Après avoir joué et travaillé dans plus de 40 pays, ce nord-américain s’est installé à Rio de Janeiro il y a une vingtaine d’années. Selon lui, sa musique traite des sujets difficiles comme l’appropriation culturelle, la fusion stylistique et l’immigration, tout en apportant l’idée que la créativité et la collaboration sont indispensables. Ses productions ont été diffusées sur Tru-Thoughts, Ninja Tune, Cumbancha, Soot Records, World Connection et bien d’autres.
“Hand-played percussion and hard-nosed voices are the rocket fuel for Maga Bo’s “Quilombo do Futuro”, a cultural manifesto riding on rhythm. Make that rhythms (…) Atop them — rapping, chanting and singing their own lyrics — are voices that can keep pace with the syncopations or sail above them. In Portuguese and occasionally English, Maga Bo’s collaborators often praise culture as survival mechanism and resistance tactic, while the beats constantly prove them right.”
SITE OFFICIEL : WWW.MAGABO.COM
Références: Worldwide, Womex, Womad, Fiest’à Sète, Suds à Arles et plus 50 pays. Des collaborations avec Mulatu Astatke, Issa Bagayogo et Marcelo Yuka, ainsi que des disques chez Tru-Thoughts, Ninja Tune, Cumbancha, Soot et bien d’autres.
DIRECTION ARTISTIQUE
Joao Selva alias Jonathan da Silva est né en 1982 dans la ville de Rio de Janeiro. Comédien, musicien et danseur, il entreprend très jeune des recherches autour du patrimoine immatériel de la culture au Brésil. Suite à une formation à l’Ecole de l’Acteur Comique de Curitiba, en 2001 il devient maître de Capoeira Angola. Assistant chorégraphe de la Biennale de la Danse de Lyon en 2002, il
s’installe en France où il poursuit ses études en Histoire de l’Art et en Sciences de l’Education. Artiste polyvalent, il intervient dans de nombreux projets pédagogiques et artistiques internationaux. En 2004, il rejoint la Compagnie Simaka avec qui il tourne régulièrement des spectacles jeune public en France, en Afrique, aux Caraïbes et au Brésil. Titulaire d’un Diplôme d’Etat en Musique Traditionnelle (CEFEDEM Rhône Alpes), il participe activement à la vie du Centre des musiques traditionnelles Rhône-Alpes, dont il sera président entre 2014 et 2016. Devenu un véritable ambassadeur des cultures du Brésil en France, on le retrouve aujourd’hui au sein de divers projets tout en développant sa carrière solo.
CHOREGRAPHE
Née à Rio de Janeiro, Tereza Azevedo a depuis son plus jeune âge un lien avec le milieu culturel et artistique, en particulier avec la danse, la musique et le théâtre. Elle fait ses armes en intégrant divers collectifs avec qui elle sillonne le monde, comme la Compagnie Aérea de danse ainsi que le célèbre groupe de théâtre de rue Tá na rua et la Compagnie Brasil Brasileiro. Installé en France depuis 2007, elle développe son
travail autour de la danse brésilienne en tant que danseuse, chorégraphe, et animatrice d’ateliers de danses pour les enfants, les adultes, les personnes âgées et handicapées. Elle aime échanger et transmettre son art en contribuant à sa transmission auprès d’associations, de compagnies et de groupes de danse, de musiques et de capoeira. Elle s’intéresse en particulier au métissage culturel hérité d’Afrique en axant ses chorégraphies et ses cours sur la culture Afro-Brésilienne qu’elle incarne en France et à l’étranger. Tereza Azevedo brise les codes sans pour autant les rompre et amène une énergie et une dimension dans la danse Brésilienne encore peu explorée.
LES MEDIAS EN PARLENT
” (…) Sociedade Recreativa se montre habile à ne pas dénaturer la tradition par l’électronique.” – Louis-Julien Nicolaou, Les inRocks
“Rythmes brésiliens et sound system, le détonnant mélange de Sociedade Recreativa” – Eric Delhaye, Télérama
“Sound effects are added sparingly and intelligently, never scuppering the natural flow of the music, and the songs are strong, their hooks stay in your head. I should imagine this will end up my favourite Brazilian album this year. Lovely stuff.” – Howard Male, Songlines Magazine
“L’héritage des instruments acoustiques (…) combiné au savoir-faire du beatmaker Maga Bo font certainement de ce disque, sorti le 1er avril, un futur classique.” – Star Wax
” (…) Il ne faudra pas grand-chose de plus pour que cette première œuvre séduisante dans la platine devienne carrément irrésistible à la scène tant elle dégage une incroyable envie de se déhancher en rythme sur des airs latinos d’un nouveau genre.” – Fred Delforge, ZicaZic.com
“Sociedade Recreativa suggests that people like me, formal students of ethnomusicology, quiet our minds for a bit and enjoy these sounds as unadulterated sonic expression of the artists’ joy in collaboration” – Dylan McDonnell, Rootsworld
“L’heure de la récréation a sonné. Sociedade Recreativa, addition des forces d’un groupe de musique brésilienne basé en France, Forró de Rebeca, et d’un DJ expatrié à Rio, Maga BO, annonce un premier album vraiment pas triste.” – Gérard Viel, TRAD’MAC
Trois troubadours franco-brésiliens catapultent leur tropisme nordestin sur les machines du producteur Maga Bo, DJ yankee parti se ressourcer au baile funk. Le résultat ? Une tropical bass très roots dont les puissantes vibes secouent et ravigotent. – Anne Berthod, Télérama Sortir
Top 20 Transglobal World Music Charts / avril & mai 2016
Top 10 of the World Albums/May 2016 – Songlines Magazine
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Jonathan da Silva
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